par Hervé

avril 24, 2020

padar - changeons
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Aujourd'hui, je te propose un exercice hyper intéressant : faire un bilan pour savoir où tu en es de ta vie. Ce qui est cool. Et ce que tu dois améliorer.

Attends, ne pars pas en courant ! 
C'est vrai que ça fait un peu peur dit comme ça.
Parce que notre vie, ce n'est pas toujours celle qu'on avait rêvée.

Mais tu me connais, on va rendre ça agréable.
Et faire en sorte que ça soit utile au passage.


Donc voyons ensemble, toi et moi, comment faire un BON bilan de sa vie, bien utile et efficace.

Pour ça, je vais utiliser la recette de mon pote Damien Fauché du site plein de trucs.

1/ Choisir une date marquante.

Ton anniv.
Noel.
L'arrivée du printemps.
Ou la mort de Lady Di.
Peu importe, du moment où tu t'en souviendras.


2/ Être honnête.

Mais genre méga honnête.
100% honnête.
Pas question de s'envoyer des fleurs si tu ne le mérites pas.

Ni de t'auto-flageller si tu ne le mérites pas (sauf si tu aimes ça, petit coquinou).

3/ Te poser les bonnes questions :

A/ Qu'est-ce qui s'est bien passé cette année

B/ Qu'est-ce qui aurait pu mieux se passer cette année

C/ Qu'est-ce que j'ai appris cette année

Mon bilan de l'année : c'est parti !

On se lance !

Pour la date, j'avais juste très envie de le faire maintenant.

Ça aurait été mieux à mon anniv, ou au jour de l'an pour trouver une date symbolique, mais mieux vaut le faire aujourd'hui plutôt que d'oublier de le faire à une date plus marquante ! 🙂

Je jure de dire toute la vérité, rien que la vérité, et de ne pas croiser les doigts pendant cet article.


A/ Qu'est-ce qui s'est bien passé cette année ?

On commence par le positif. Go !

Les voyages : le bon dosage pour ne pas être blasé

bilan vie changeons petronas

Oooh les zolies tours ! 

Vu que je vis au Vietnam avec des visas de 3 mois renouvelables, je dois quitter le pays tous les 3 mois. Donc voyages obligatoires.

Au début je kiffais. Découvrir un nouveau pays tous les 3 mois, quel pied !

Sauf qu'au bout d'un moment, c'est devenu une petite épine dans le pied. Qui a commencé à grandir.
Voyager m'ennuyait par moments.


Ou plutôt, ça ne m'excitait plus assez. Parce que je voyageais par contrainte, non par envie.

À tel point que l'année dernière, j'avais ressenti une vraie baisse d'envie de voyager.
Ce qui est un comble, parce que j'adore ça.

Cette année, j'ai donc moins voyagé.
Seulement quelques petits voyages très sympas.
Qui m'ont bien fait kiffer.

Découvrir Komodo. La Corée du Sud. La Malaysie.

Ça a été top par moments. Bien mieux que l'année précédente.
Et d'avoir fait quelques voyages avec des amis ou de la famille avec qui je n'avais pas l'habitude de voyager, ça a ajouté de la nouveauté.

En bougeant moins souvent...j'ai le temps d'avoir envie à nouveau de découvrir des choses. Et ça me convient beaucoup mieux.

En plus, ça diminue mon bilan carbone de moins bouger. Ce qui est cool.

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Hisse et oh, et une bouteille de rhum moussaillon !

L'écologie : en amélioration



Cette année, j'ai encore aiguisé ma conscience de l'urgence d'agir contre le réchauffement climatique.
Ou plutôt d'en limiter les dégâts.
(je te conseille les cours en ligne gratuits de Jancovici pour prendre l'ampleur du désastre...).

Du coup, j'ai limité ma consommation :


- moins de voyages (je ne suis pas rentré en france depuis presque un an, là où avant je revenais tous les 6 mois)
- moins de vêtements et d'objets : je me contente du nécessaire. Et de temps en temps, un truc inutile mais c'est devenu rare.
- moins de plastique : je réutilise mes sacs, j'évite tout plastique inutile et je change mes habitudes. Je pense avoir diminué de presque 50% mes déchets plastique.
- je fais pousser des légumes sur mon balcon.
- je mange moins de viande, qui est un des gros responsables de l'émission de gaz à effet de serre.

Mes légumes du balcon. J'en ai même fait pousser 5 fois plus maintenant. Miam.


Et ça me fait kiffer de vivre plus en accord avec la planète. 

Chaque fois où je refuse un sac plastique, j'ai l'impression d'être un super héros du quotidien 🙂

Mes rapports avec ma famille meilleurs que jamais



Avant, quand j'étais timide, je cachais tout à tout le monde.
Et donc, je n'avais jamais de conversation sincère avec ma famille.


Peut-être même que je leur en voulais de n'avoir pas réussi à me rendre confiant...

Maintenant, ça va beaucoup mieux. Mes relations avec mes parents n'ont jamais été aussi bonnes.
Ils sont venus me voir au Vietnam pendant 3 semaines, et c'était vraiment cool de leur montrer où je vis.
De leur présenter ma copine.
Et de partager des moments forts avec eux. 

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Photo de famille, avec mes parents et ma copine.


Bref, mieux vaut tard que jamais, mais je suis content d'avoir "fait la paix" avec eux. C'est vraiment cool.



J'ai aussi consolidé certaines amitiés importantes, malgré la distance pour certains. 

Et aujourd'hui, je me sens proche de gens qui sont à 12 000 kilomètres.
Je les kiffe.

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 Trek dans les montagnes avec des potes vietnamiens, malaysiens, japonais (et une taiwainaise et un américain). T'as vu mon style ? Casquette inimitable...

Ma copine, et mon petit chat.



C'est la première fois que je vis aussi longtemps en couple. 2 ans et demi avec ma chérie.
Du coup, je m'auto high five pour avoir réussi ça (voir dans la suite pour les trucs à améliorer !)

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Ma copine depuis plus de 2 ans. Cool !

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Mon petit "tigre". Elle s'appelle Mila.


On a même adopté un petit chat.


Mon premier chat.

Par moments je l'adore.

À d'autre je le déteste, quand il me mord ou griffe sans raison.

Mais c'est cool d'avoir un chat dans sa vie.

Le sport et moi, ça ne fait plus trois.



Malgré quelques mini blessures qui auraient pu me décourager, j'ai maintenant une bonne routine sportive.
Rien de trop élevé (je fais des séances de moins d'une heure 3 fois par semaine), j'ai trouvé mon rythme.

Avec au passage 3 courses officielles : deux fois 5 kilomètres et un 10 km.
Pas pour le chrono, juste pour le challenge. Dont une "color me run". Rigolo.

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Nouveau style coloré.

Et pour la première fois de ma vie, j'ai même des bébé-muscles qui poussent entre mes os et ma peau, malgré ma génétique de squelette sur pattes.
Pas mal à 38 piges !


La bouffe : miam.



Je mange plus sain que jamais : fruits, légumes, noix, épices, je me régale.
Moins de viande, plus de produits frais.
Avec mes légumes et les herbes du balcon, c'est top.

Bon pour mon corps, bon pour la planète : je kiffe.

Et comme la bouffe au vietnam est méga bonne et beaucoup moins grasse qu'en France...pas de raisons de se priver !


B/ Ce qui aurait pu mieux se passer

Ma réaction au corona-virus.



Je suis sensé avoir du recul sur les choses négatives vu mes connaissances en développement personnel.
Mais sur le corona...
...j'ai flippé
comme un candidat de télé réalité face à un dictionnaire.

Je me rends compte que ça m'angoisse pas mal — Beaucoup plus que ce que ça ne devrait.

Parce que je m'inquiète pour ma famille en france. Pour mes amis qui l'ont choppé.
Et que je me sens impuissant, depuis l'autre bout du monde.

J'ai eu peur pour moi, et surtout pour les autres.
Et c'est la première fois en 5 ans que j'ai vraiment peur de quelque chose 🙂

Heureusement, après une grosse période de peur, j'ai appris à mieux le vivre.
Et aujourd'hui, l'angoisse a bien diminuée, même si elle est toujours là en toile de fond.

Distanciation sociale : check.

Je suis trop Tombé dans la routine



Ces dernières 5 ou 6 années ont été folles pour moi.
J'ai vécu en ces quelques années ce que certains ne vivent pas en une vie.

Ça foutait une adrénaline de fou dans ma vie.
Toujours des nouveautés, toujours plus de rencontres, de voyages.

Ça a été incroyable.
La découverte de l'Asie. Les rencontres au bout du monde.
Les histoires d'amour. D'amitié.


L'abandon de ma boîte de photographie pour vivre de mon blog et aider les gens.
J'ai kiffé.


J'ai ri (beaucoup). 

J'ai pleuré (un paquet de fois).

Ça a été intense.


J'ai dû dire adieu à des gens formidables.


Là pour la première fois, cette année j'ai du gérer un autre challenge : accepter de ne pas toujours être dans une course au "toujours plus".

J'ai une copine. Un petit chat. Un blog. Une ville où j'aime vivre (Saigon).
Des amis.

Du coup...ça manquait de challenge par moments.


Je me suis laissé tomber dans une routine.
Pas désagréable, je kiffe ma petite vie tranquille.

Mais je suis beaucoup plus resté dans ma zone de confort que les années d'avant.
Trop par moments.
Et ça me manque un peu.

Notamment au niveau des rencontres, où je me rends compte que j'ai parlé à nettement moins de monde qu'avant, peut-être deux fois moins.

Petite brasserie artisanale saigonaise entre amis.

Et surtout que je n'ai pas fait le nécessaire pour garder le contact, par flemme.


Ce qui fait que pour la première fois en 10 ans, j'ai un cercle social un peu moins étendu qu'avant, car j'ai continué à épurer les personnes les plus négatives (ce que je te conseille de faire !), sans ajouter suffisamment de gens géniaux dans mes cercles.


Avant, mon célibat me motivait à rencontrer plein de gens. Et ma relation actuelle m'a rendu un peu fainéant, par mauvaise analyse du problème — car non, parler et aborder des gens ça ne sert pas qu'à "pécho", je le sais très bien, mais j'ai oublié d'y penser.

Même avec ma copine, j'ai parfois manqué de spontanéité. En étant trop casanier.

Et j'ai laissé notre relation stagner, au lieu de continuer à la surprendre et à la faire kiffer d'être avec moi.


Mon challenge c'est de continuer à la rendre heureuse, en étant moi-même une personne épanouie et heureuse. Pas en restant sur le canapé à mater des vidéos youtube.

Le confinement du COVID-19 m'a fait prendre conscience que non, ce n'était définitivement pas une vie hyper excitante de rester chez soi 24h/24.


Et qu'un peu de piment régulièrement, ça donne du goût au quotidien.


Une envie en dents de scie



C'est peut-être lié au point précédent. Mais par moments, j'ai vraiment manqué d'envie et d'énergie cette année.

Manque d'envie de voyager, de rencontrer des nouvelles personnes.

Mais aussi manque d'envie sur le blog à 2 reprises cette année.
Ce qui s'est traduit par moins d'articles publiés.

Ma motivation a fait les montagnes russes.

Un sourire de façade ? 😉


Au point où, il y a deux mois, j'ai failli arrêter le blog.

Je me suis alors recentré sur ce qui me faisait le plus plaisir : aider les gens.
Ça m'a redonné un gros coup de boost.

Mais ces périodes de creux, sans énergie ni envie de me dépasser n'ont pas été très productives.
Comme si je me contentais de ce que j'avais, en oubliant de me fixer de nouveaux challenges excitants.

C'est un comble pour moi, car je sais exactement quoi faire pour sortir de là. Mais par moments, j'ai tardé à le faire.
Nobody is perfect.


Des finances en mode freestyle



C'est la première année où je fais autant le yoyo dans mes finances.
Comme je te le disais, ma motivation à bloguer a fait les montagnes russes.


Du coup, mes revenus également, car qui dit moins de motivation dit aussi moins de nouveaux clients de coaching et pour mes formations.

Pour la première fois de ma vie, j'ai dépensé plus que ce que j'ai gagné, sur plusieurs mois successifs.
Rien d'inquiétant pour le moment car c'était relativement peu important, et que j'avais fait quelques réserves, mais quand même. 


Pas très sérieux de ma part.

D'autant plus que ce n'était pas pour un investissement qui me rapporterait des sous plus tard.
C'était juste que, par manque de projet clair, que je n'ai pas ressenti l'envie de me dépasser au travail.

Au point de me mettre en négatif sur plusieurs mois. Pas cool.
(d'autant qu'avec le Covid, certains de mes investissements se sont bien cassés la gueule avec la crise).

Ma solution : proposer une offre méga généreuse à mes lecteurs avec le programme "Destination : Meilleur Moi".
Je suis sûr que les gens vont me rendre au centuple cette générosité 🙂


Ce que j'ai appris cette année


Comme tu le vois, cette année a été riche en apprentissages.
Je te partage les plus importants :


1/ On n'est jamais arrivé à destination.



Je pensais avoir atteint mon but : être heureux en ayant une copine, des amis, un boulot qui me plait.

Mais en me croyant (à tort) arrivé au sommet, j'ai oublié une chose : c'est que si on s'arrête d'avancer, on finit par reculer.


En oubliant de me fixer des challenges motivants et percutants, j'ai temporairement régressé dans plusieurs domaines de ma vie.

Je m'en suis rendu compte à temps, et comme je sais exactement quoi faire pour sortir de ma zone de confort à nouveau, ça ne devrait pas poser trop de problèmes.

Mais ça reste riche d'enseignements pour le futur et une bonne piqure de rappel !

(ça va peut-être te faire sourire, mais je me suis réécouté mes propres conseils dans deux formations que j'avais créées il y a deux ans, et ça m'a fait du bien. Comme quoi, l'amélioration personnelle c'est vraiment pour tout le monde !)


2/ Il y aura toujours des «cygnes noirs».



Même si tu fais tout pour que ta vie soit géniale, il y aura toujours des trucs improbables qui viendront te mettre des bâtons dans les trous roues.

Ce que Taleb appelle les « cygnes noirs » dans son livre Black Swan.

Quelle était la probabilité qu'un petit virus passe de la chauve-souris au pangolin et bloque le monde entier ? Faiblarde. Mais c'est arrivé.
Et si ça n'avait pas été ça, ça aurait pu être une autre catastrophe.

Les "couilles dans le potage" arriveront toujours à l'avenir.
Et il faut juste apprendre à mieux les gérer.

Ma gestion du corona n'a pas été bonne. J'ai paniqué un peu trop.
Parce que ça ne sert à rien de stresser sur les choses qu'on ne contrôle pas.

(prendre les mesures de distanciation sociale, porter un masque et se laver les mains : on contrôle. Derrière, on ne peut pas contrôler qui on croise et si on le choppe ou non).

Ça m'a appris qu'il fallait garder son sang-froid devant chaque menace.
L'évaluer à sa juste valeur.
Agir à notre échelle.
Et arrêter de trop s'en faire sur ce qu'on ne contrôle pas.

Et de garder le sourire, au lieu de regarder en boucle le nombre de morts par pays. La vie aura toujours des cygnes noirs. Autant apprendre à sourire, même face aux moments difficiles.

Souris à la vie, et la vie te sourira. Mets toi une pétale de lotus sur le nez, et tu ressembleras à un panda.


3/ L'équilibre parfait est dur à trouver



À un moment, il faut trouver un équilibre entre prendre le temps de kiffer notre situation actuelle...
...et décider de repartir vers de nouvelles aventures.

Cet équilibre, il n'est pas facile à trouver.

Il ne faut pas attendre de s'ennuyer dans sa vie pour réagir. Sinon ça va demander beaucoup plus d'efforts pour repartir. 


À l'inverse, il ne faut pas atteindre un burn-out d'objectifs qui va nous faire perdre toute envie. Sinon ça va demander beaucoup plus d'effort avant de se remotiver.

J'ai fait une sorte de burn-out de voyages et rencontres. Une overdose pendant 5 ans qui m'a un peu écœurée de choses que j'adorais, et qui me blasait légèrement au quotidien.

(même si tu aimes le chocolat, si tu t'en goinfres une tablette matin, midi et soir pendant 5 ans, tu ne vas plus aimer ça du tout au bout d'un moment !)

Le juste milieu avec des petits challenges excitants est la bonne solution. Continuer, mais à un rythme moins effréné. Juste ce qu'il faut pour me challenger.


Peut-être privilégier la qualité à la quantité. Me créer 10 amitiés géniales au lieu de 30 superficielles. Faire 4 beaux voyages au lieu de 10 trucs moyens.

(tout en gardant le sourire si l'un d'entre eux se révèle un peu moins bon).

Là, je kiffe puissance 1000. C'est ce kif que je veux dans mes prochains voyages !

4/ L'argent viendra uniquement si la passion est là 



C'est con à dire, mais quand je n'étais plus très motivé pour bloguer, les gens n'achetaient quasiment plus mes programmes.


Car mon manque d'envie devait se ressentir dans mes écrits je pense. Ce qui me démotivait encore plus.

Pire, j'avais fini par devenir un peu aigri face à d'autres blogueurs ou formateurs concurrents dont je n'aime pas les méthodes.

Au lieu de me concentrer sur mon travail, je cherchais les causes ailleurs :
"c'est parce qu'untel ment à ses lecteurs avec des promesses irréalistes que mon blog marche moins".
"c'est parce que bidule a volé une partie de mes formations en disant que c'était les siennes que les gens me lisent moins".

Non. Fausses excuses tout ça. Car même si ces petits désagréments existent...
...on s'en fout un peu.
Ce qui n'allait pas, c'était mon état d'esprit.

Pour retrouver des revenus qui me conviennent, je dois avoir pour mission de t'aider de tout mon coeur.


Et kiffer ça comme si tu étais la première personne que j'aidais.

Arrêter de regarder ce que les autres font ou ne font pas, et me concentrer sur moi, et sur toi. That's it.

J'avais aussi fini par trouver ça normal de recevoir des mails de gratitude tous les matins. À ne plus y faire très attention.
Grosse erreur ! C'est génial d'aider des gens à se sentir mieux, je dois ressentir plus de fierté et me servir de tout cet amour que je reçois pour vous aider encore plus !

Avec la passion, viendra l'argent.
Parce que si je t'aide sincèrement et efficacement, tu seras ravi de me faire confiance pour t'aider à te former sur un sujet important pour toi.


Je dois donc être encore plus généreux dans ma façon de bloguer — sans pour autant tout donner gratuitement vu le boulot que ça me demande, on est d'accord que tout travail mérite salaire — et me démener encore plus pour trouver des solutions efficaces pour que tu vainques tes problèmes.

La passion en premier. L'argent en second. Pas l'inverse.

On ne doit pas travailler pour l'argent, mais pour la passion.
C'est une composante importante pour être heureux.


5/ Ma chérie n'est pas un acquis.


J'avais tellement rêvé depuis l'adolescence d'être en couple de longue durée avec une fille qui me plaît vraiment, qu'une fois que c'est arrivé, je me suis un peu relâché, faute de nouvel objectif.

Mais si j'arrête de la considérer comme un challenge, si j'arrête de vouloir la séduire au quotidien...
...je vais finir par la perdre, tôt ou tard.

Elle s'est mise en couple avec un gars hyper enthousiaste et plein de challenge : moi il y a deux ans et demi.
Pas avec un gars qui râle parce qu'il doit faire la vaisselle et rechigne à sortir parce qu'il est fatigué, comme je l'ai parfois trop fait cette année.

C'est ça qu'elle mérite. Une vie pleine de surprises et de nouveautés, et où elle est fière d'être avec un mec comme moi.
Et je vais tout faire pour qu'elle ne regrette à aucun instant de sa vie d'avoir croisé ma route.

Ça me permettra également ne rien regretter plus tard, qu'on vieillisse ensemble ou non selon ce que le futur nous réservera. 😉

La routine peut guetter chacun d'entre nous. Fais gaffe à ne pas t'enliser dedans.


6/ Rien n'est éternel.



Que ça soit les périodes de doutes, ou les périodes de bien-être : rien n'est éternel.

Ni ce blog. Ni nos relations. Ni notre situation financière. Ni notre confort matériel. 

Tout peut disparaître aussi rapidement que c'est apparu.


Des choses nouvelles continueront à arriver, puis disparaitre. Et d'autres prendront leur place.

Après l'orage, le beau temps. Sexy ce petit K-way, pas vrai ? 🙂


Il faut donc toujours rester en mouvement pour continuer à être heureux.


Et faire en sorte qu'au lieu d'avoir 90% de périodes de doutes et 10% de bien-être, le pourcentage soit l'inverse.


C'est peut-être la définition la plus exacte du développement personnel : améliorer les pourcentages de bons moments dans ta vie et leur intensité.

Et en sachant que rien n'est éternel, tu profites beaucoup plus des bons moments. Et tu prends les mauvais moments avec beaucoup plus de philosophie.

Et toi ?



Voici mon feedback 100% sincère de cette année. Et un des articles les plus personnels que j'ai jamais écrits.
J'espère que tu as kiffé le lire.

Et que ça te fera réfléchir également à ton année.



Je t'encourage à faire ce bilan, toi aussi.

À me donner ton avis dans les commentaires,

ou à partager une partie de ton propre bilan : ce que tu as appris.



Ça t'aidera à trouver tes priorités.

Sinon tu peux lire aussi comment se simplifier la vie pour être plus heureux. C'est cool aussi.

Je te fais un bisou.
Tchuss.



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Qui est Hervé Lero ?

Hervé

Hervé Lero a fini par vaincre sa timidité maladive et à prendre confiance en lui à l'âge de 30 ans.

Aujourd'hui devenu consultant en timidité, il accompagne depuis 2013 des personnes motivées à vaincre leur timidité et à prendre confiance dans leurs capacités.

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